Disciplines

 
                                     
Il ne s’agit pas à proprement parler d’un style de combat, mais plutôt d’un concept, qui consiste à étudier plusieurs arts martiaux ou autres sports pour faire évoluer sa propre pratique. On absorbe ce qui nous est utile, on rejette ce qui ne l’est pas et on ajoute ce qui nous appartient.

On retrouve les éléments du wing chun, un art martial chinois que pratiquait Bruce Lee auprès de Yip Man et Le jeet kune do est très axé sur le développement physique, l’autodéfense et le combat. Il insiste surtout sur la notion de combat réel et total. Un autre des points essentiels du JKD, c’est l’absence de formes martiale comme forme.

 
  Jun Fan Gung Fu:                                  
   
 
“Celui qui contrôle la ligne centrale, contrôle le combat.” disait Bruce Lee.
Le Jun Fan Gung Fu est le système de base qui permet d’aboutir à la compréhension des concepts du Jeet Kune Do et ainsi à se libérer de tout système pour ne prendre que ce qui fonctionne pour nous individuellement.
En Jun Fan Gung Fu, c’est à la technique de s’adapter à l’individu.Synthèse de 36 arts de combats

  •  Jun Fan Kick Boxingdistance éloignée ( synthèse pieds&poings: savate, taekwondo, boxes thai, anglaise…)
  • Jun Fan Trapping distance médiane (wing chun, kung fu, aïkido…)
  • Jun Fan Grapplingdistance proche (synthèse de luttes, immobilisations, clés: judo, ju jitsu, catch, qin na…)

 

Kali et Silat :
 
Le Kali est un ancien système de combat des Philippines dont le nom réfère à un modèle de sabre malais à grande lame. Ces techniques sont fortement influencées par le combat à armes blanches importées par les conquérants espagnols dans la seconde moitié du XVIe siècle. Il existe aujourd’hui de nombreux styles suivant les diverses ethnies. De plus en plus le Kali désigne aujourd’hui l’ensemble des arts martiaux philippins pratiqués avec ou sans armes: Escrima, Eskryma (avec armes blanches), Arnis, Sirakan (boxe des pieds et poings), Dumog (lutte).
Le silat est un art martial d’origine indonésienne, vraisemblablement de l’île de Sumatra. Il est également pratiqué aux Philippines, au Brunei, en Malaisie, à Singapour, dans le sud de la Thaïlande et plus généralement dans ce qu’on appelle le monde malais. Dans les îles de Java, Madura et Bali, il s’appelle pencak. La combinaison de Pencak et de Silat a été faite la première fois en 1948 lors de la création de la première fédération nationale, la fédération indonésienne de Pencak Silat.
Wing Chun Kung Fu :  
   
Le Wing Chun est un art martial chinois traditionnel, originaire du Sud de la Chine, dédié au combat rapproché, incluant des techniques à mains nues et le maniement d’armes. Créer par la none bouddhiste Ng Mui, cet art à la particularité d’utiliser les bras comme des antennes afin de lire l’intention de l’adversaire, d’utiliser l’attaque/défense simultanément. On privilégie la souplesse à la force physique. Très développé à Hong Kong et Taïwan, le wing chun a bénéficié au XXe siècle d’une rapide expansion en Europe et aux USA, en raison notamment de l’efficacité au combat qu’il permet rapidement d’acquérir, de méthodes modernes d’enseignement, et de la notoriété de l’acteur Bruce Lee.

Wing Chun Gongfu?
A form of Chinese self-defence system first taught in China by Ng Mui – a Buddhist Nun from Shaolin Monastery 400 years ago. Renowned as a close range system of self-defence, Wing Chun Gongfu was introduced into Hong Kong in the 1950s by Grandmaster Yip Man whose many students include the late Bruce Lee.
The characteristic of Wing Chun Gongfu lies in its simplicity and its emphasis on utilizing simultaneous deflection and defence to neutralize attacks rather then rely on power and size. Wing Chun Gongfu is also well known for its one-inch punch, which is capable of delivering explosive power at very short distance like the releasing of a spring coil

 
Taichi :
Le taï-chi-chuan ou tai chi ou taiji quan est un art martial chinois, dit « interne » (neijia), d’inspiration taoïste. Minimisé en Occident comme étant une sorte de gymnastique, appréciée en particulier par les personnes âgées pour son rôle de fortifier le corps et d’assurer la santé.
Les mouvements ont à la fois une connotation martiale (esquives, parades, frappes, saisies…) et énergétique.
Ils ont été créés et sont travaillés par des moines guerriers taoïstes.
Le tai-chi-chuan en tant qu’art martial interne insiste sur le développement d’une force souple et dynamique appelée jing, par opposition à la force physique pure. Une des règles du tai-chi-chuan est le relâchement (songsong kai) qui permet la fluidité des mouvements et leurs coordinations : un mouvement du poing prend naissance à la taille, se prolonge par l’épaule, puis par le bras. Les muscles sont utilisés d’une façon coordonnée et la force pénétrante provient d’une contraction rapide lors de l’impact.

 

What is Taijiquan / Tai Chi Chuan?

Popularly known as Taiji. It is a trinity of 3 arts – that of Healing, Meditation and Self Defence. Regular practice of Taijiquan promotes the cultivation of soft intrinsic qi flow which is essential to the preservation of one’s health. An ideal therapy for poor circulation, high blood pressure, asthma, arthritis and back, neck and joint problems. Its gentle non-jarring movement exercises every muscle, ligament, tendon, joint, lymph node and internal organ of the body.
As a form of moving meditation, Taijiquan encourages one to approach one’s practice with a quiet attitude of serene attention as opposed to overtly concentrating one’s focus only on part of the composition of the form which tends to create a condition of stress and an illusion of false power. Correctly embraced, Taijiquan stimulates awareness, develops a calm mind which dissolves internal conflicts and tensions to bring forth a state of harmony and emotional balance within oneself.
As a form of self-defence, the non-opposing yielding methods of Taijiquan enable one to control and redirect the attack of an opponent while retaining the option of counter attack if one so chooses. The Taiji Classics refer to this as: using 4 ounces of strength to shift the force of a thousand pounds.
The curriculum of Taijiquan includes: slow-moving Meditative Forms for health, Fa Jing Forms for power development, San Shou / Sparring Forms for self-defence, Push Hands for sensitivity enhancement, plus Weaponry, Qigong and Nei Gong for advanced study.
To see video footage of Lama Dondrup Dorje demonstrating Taiji forms and applications in action please visit the Pathgate Theatre Page.
There are five major Traditional Taiji Chuan Systems:
Yang Style Taijiquan: large extended open postures, circular and even in motion, known for its speciality on Fa Jing – the issue of explosive power. The founder of this system was Grandmaster Yang Lu-Chan (1799-1872). The original Yang Style he created was based on Chen Style Taijiquan he learned from Chen Chang-Hsin which included many fast and explosive movements. This form was later modified to make it more accessible to the masses by his grandson Yang Cheng-Fu (1883-1936).
Wu Style Taijiquan: medium size postures, gentle and even in motion, known for its subtle approach in the yielding and transformation of energy. The original Wu Style Taiji Form was created by a Manchurian named Chuan Yuo (1832-1902) whose family later adopted the Han’s surname of Wu after the demise of the Manchurian Empire. Chuan Yuo was a disciple of Yang Ban-Hou although he was taught by Ban-Hou’s father Yang Lu-Chan himself. Chuan Yuo’s son Wu Jien-Chuan was responsible for the restructuring of the Old Form into what is known as Wu Style Taijiquan today.
Chen Style Taijiquan: vigorous rapid coiling movements interchange with slow gentle ones, famed for its silk reeling methods and spiralling energy. There are 3 main variations: Chen Chang-Hsin’s Old Style, Chen Yu-Ben’s New Style and Chen Chin-Ping’s Shiao-Jar (Small Posture).
Woo (Hao) Style Taijiquan: the epitome of the body and energy mechanics of the Chen Style Taijiquan with small compact postures and short intricate movements. It’s founder Woo Yu-Hsing (1812-1880) was a disciple of Yang Lu-Chan.
Sun Style Taijiquan: derived from Woo Style Taiji with additional input from Bagua Zhang – for its waist turning, and from Xingyi Quan for it’s dextrous foot work and crushing palm. It’s founder is Bagua & Xingyi Master Sun Lu-Tang (1860-1932).

 

 

Qi Gong :
 
Le Qi GongChi Gong ou Chi Kung est une gymnastique traditionnelle chinoise et science de la respiration, fondée sur la connaissance et la maîtrise de l’énergie vitale, et associant mouvements lents, exercices respiratoires et concentration. Signifie littéralement exercice (gong) relatif au qi.
Tous les exercices de qi gong nécessitent de la patience et une pratique régulière. Sa pratique est particulièrement conseillée pour une maîtrise complète des arts martiaux.
Le Qi est non seulement à l’origine de l’être humain, mais il est aussi indispensable à sa survie.
Les exercices du Qi Qong permettent de développer le souffle interne(Qi) 
et de le faire circuler librement dans les méridiens.
Le Qi Gong tonifie l’organisme, facilite la circulation du sang dans le corps 
et harmonise le Yin et le Yang.
Il peut donc prévenir,  guérir les maladies, renforcer les capacités fonctionnelles du cerveau, augmenter l’efficacité du travail, préserver la jeunesse et accroître la longévité. 
Il permet aussi de se prémunir et de se défendre contre toutes attaques extérieures.

 

Pour plus d’infos, consulter le site pathgate.org.

What is Qigong/Chi Kung?

Huang Di Nei Jing (Medical Canon of the Yellow Emperor) was one of the first Chinese classics which chronicled the existence of three types of qi in the universe – the intrinsic energies of Heaven (tian), Earth (di) & Man (ren). The research and practice which explores the inter-dynamics of these three energies, forms the basics of Classical Qigong Study – also referred to as Tsa Lung in Tibetan. The goal of Classical Qigong Study is to promote metaphysical transformation of the body and the mind through the cultivation and fusion of the subtle energies between tian, di & ren, involving not merely the harmonisation of the subtle energies in the material realm, but also those of the ethereal, spiritual and cosmic realms, culminating in a state of Awakening which the Buddhists refer to as the Attainment of Realisation or Buddhahood.